Vertigo paris à l’honneur dans gala - www.vertigo-paris.com

Vertigo paris à l’honneur dans gala

6 juillet 2018 Vertigo paris à l’honneur dans gala

A l’affiche dans la presse du luxe et haut de gamme, la renaissance de Vertigo Paris ne s’est pas fait attendre. Marquant de son empreinte l’univers de la mode, elle démontre une fois de plus, si besoin en était, l’étendue de son aura. La voici sublimée. Merci Gala !

Retour sur les moments forts de la parution dans le prestigieux Gala.

Vertigo Paris, une marque de renommée internationale

« Bien plus qu’une marque de prêt à porter, Vertigo est un symbole de style, d’élégance et de raffinement créé par Daniel Mimoun en 1984 […] Elle incarne le chic à la française qui s’exporta dès 1985 Outre Atlantique. » Oui, Vertigo Paris transcende l’espace-temps. Renommée à l’internationale, elle a su dépasser les frontières pour mieux retourner vers ses racines. « Faire perdurer cet héritage, le remettre au gout du jour avec une collection accessible, qualitative, voilà le challenge que l’équipe de passionnés derrière la marque a relevé. » Pari réussi, assurément.

Entre tradition et modernité

Au cœur de nos nouvelles collections, un idéal féminin à la française pour ces femmes de…caractère ! « Vertigo s’adresse aux femmes du monde d’aujourd’hui, multiples et uniques. Ces femmes avec un pied dans la tradition et un pied dans la modernité. » A la fois sensuels et sauvages, sophistiqués et instinctifs, nos accessoires apportent cette touche de « chic » unique en son genre. Notre modèle phare, le Zebrule, devient source d’inspiration.  Le « graal » de l’accessoire féminin : « les sacs au porter très naturel, dévoilent une part de notre identité sans rien enlever de notre mystère. ». Les Zebrules sont en vente sur notre site officiel. Pour votre immense plaisir…  

Le tout résumé à merveille par la rédaction de Gala, le regard tourné vers l’avenir :

« Le V de Vertigo n’a pas fini de nous surprendre et d’exercer sur nous son pouvoir d’attraction. »

Retrouvez l’intégralité de l’article paru dans Gala, ici